Occitanie - OCCITANIE - Le cabinet occitan Business Renseignement et Recouvrement (B.R.R) bouscule les préjugés

OCCITANIE - Le cabinet « occitan » Business Renseignement et Recouvrement (B.R.R) bouscule les préjugés et propose, dès ce mois de mars, une web-série détonante et décalée sur l’univers du recouvrement de créance

Alors que pour beaucoup le recouvrement de créances reste encore un sujet tabou emprunt d’une mauvaise image, le cabinet BRR - basé à Perpignan et Montpellier -  lance une web-série humoristique qui met en avant l’impact des impayés dans la vie économique, et leurs conséquences. Loin de faire la morale aux mauvais payeurs ou aux retardataires, le ton décalé de la web-série propose des scènes de la vie de tous les jours où le service demandé ne peut être obtenu.

Objectif : valoriser une profession qui aide chaque année des milliers de particuliers et d’entreprises à repartir d’un bon pied.

Aussi, dès le 22 mars, les internautes pourront découvrir le 1^er mini-film de 1’25 qui sera mis en ligne sur le web et sur les réseaux sociaux.

Le recouvrement : parlons-en autrement !

Le recouvrement de créances n'est pas toujours une mince affaire ! Il faut surtout éviter d'avoir en ce domaine une politique laxiste. Les sociétés de recouvrement de créances sont en effet là pour aider et conseiller les entreprises et les particuliers.

En plus d’accompagner cette période mal vécue par les différentes parties, les cabinets de recouvrement sont surtout là pour tenter d’apporter une solution rapide et concrète aux problèmes d’impayés.

En effet, les impayés contraignent le prestataire à ne plus pouvoir faire face à ses propres factures et engendrent des conséquences importantes. Pour le cabinet BRR, ce n’est pas la répression du geste mais la finalité du non-règlement des créances qu’il est important de rappeler au grand public.

Une web-série au ton décalé pour sensibiliser aux conséquences des impayés

A travers le 1^er épisode de sa web-série que les internautes pourront découvrir dès le 22 mars, le cabinet BRR entend donner une autre vision du recouvrement. Longtemps décrié avec ce visage de « croque-mort de la dette » qui réclame son dû, le recouvrement est devenu aujourd’hui un enjeu essentiel de l’équilibre financier des entreprises et des particuliers. Que penser de cette famille qui ne perçoit plus le loyer d’un bien sur lequel elle a un crédit ou de cette entreprise qui ne peut plus payer ses collaborateurs car il a un souci de trésorerie ? Parce qu’il est de bon ton de toujours victimiser celui à qui on réclame de l’argent, on oublie que la vraie victime, celle qui subit un préjudice, est le créancier.

Des mini-films malins pour donner une autre vision des impayés

Réalisée avec une pointe d’humour grinçant et mettant les personnages dans des situations cocasses dues à des impayés : que ce soit chez le dentiste, au restaurant ou dans un ascenseur… Impossible d’avoir ce que l’on attend ! Pourquoi, parce que les factures n’ont pas été payées.

« Nous souhaitons avec cette web-série, pointer du doigt les conséquences et dégâts causés pour l’entreprise, mais aussi pour ses clients. C’est également une façon pour nous de redorer l’image de notre profession auprès du grand public - qui est pourtant la clef de voûte pour résoudre les litiges. On aime notre métier et nous le prenons à cœur. Nous conseillons, nous accompagnons et nous résolvons ! » explique Sandy Danot, codirigeante du cabinet BRR et membre du Centre des Jeunes Dirigeants d’entreprise (CJD).

Une initiative 2.0 insufflée par deux passionnées

Si aujourd’hui le cabinet BBR s’est lancé dans cette idée, c’est grâce à l’impulsion de ses pétillantes dirigeantes. Trentenaires dynamiques et déterminées, Aurélie Deit et Sandy Danot ne se retrouvent pas dans cette image qui leur colle à la peau. Quand elles parlent de leur métier, c’est avant tout les belles histoires qu’elles ont pu vivre et qu'elles mettent en avant. Pour elles, rien de plus gratifiant qu’un artisan qui les remercie car leur travail l’a empêché de mettre la clef sous la porte, ou encore de cette jeune fille récupérant l’argent de la voiture qu’elle avait vendue 6 mois auparavant et qui durant tout ce temps a été contrainte de se déplacer à pieds. « Chacun de nos dossiers raconte une histoire, un morceau de vie d’une entreprise ou d’un particulier mis en difficulté. Ce que nous revendiquons, c’est avant tout notre utilité et le sens que nous trouvons dans ce que nous faisons : accompagner chaque problématique vers une happy end ! » précise Aurélie Deit, codirigeante du cabinet BRR.

Pour les deux piliers de BRR, cette nouvelle vision du recouvrement doit impliquer le respect de la déontologie. Point de vue partagé par l’ANCR (Syndicat national des cabinets de recouvrement de créances et de renseignements commerciaux) dont elles sont membres, qui œuvre chaque jour pour la profession. Elles portent une attention toute particulière à chaque débiteur pour trouver avec lui la meilleure conclusion, et tentent de conserver la meilleure relation commerciale entre les deux parties. Toutefois, elles souhaitent en finir avec le discours souvent entendu « ce n’est pas grave de faire des impayés, ils ne sont pas à ça près! ».  Or, chaque impayé aura des conséquences plus ou moins importantes. Pour l’équipe BRR, proposer une web-série décalée était une évidence, une autre approche qui ressemble à la nouvelle équipe du cabinet depuis son rachat en 2015.

Aurélie Deit et Sandy Danot ©BRR

Pour suivre l’actualité du cabinet BRR : http://uneautrevision.fr/

Le site de la société : www.brr-recouvrement.com/fr

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