Sète - La Fédération canadienne de triathlon en visite à Sète en vue des J.0

Sète - La Fédération canadienne de triathlon en visite à Sète en vue des J.0

Sète - La Fédération canadienne de triathlon en visite à Sète en vue des J.0

Par ville de Sète, le 21 Mars 2022

Quels athlètes Sète et son agglomération accueilleront-t-elles lors des Jeux olympiques de Paris 2024 ?

Peut-être des triathlètes canadiens.

C’était le sens de la visite organisée jeudi 17 mars par François Commeinhes et une délégation des sports de Sète agglopôle Méditerranée, menée par Magali Ferrier, vice-présidente déléguée au sport, au sein du Centre balnéaire Raoul Fonquerne. Labellisé “Terre de jeux”, le territoire pourra en effet servir de base arrière d’entraînement et accueillait donc deux représentants de la Fédération canadienne de triathlon, Marc-Antoine Christin, entraîneur de l’équipe olympique, et Rachel Macatee, responsable de l’équipe paralympique.

Pourquoi Sète ? Pour son emplacement privilégié entre mer et étang, ses infrastructures sportives, ses pistes cyclables et espaces naturels. Des avantages que s’est évertué à défendre Loïc Cebelieu, demi-frère du triathlète sétois Laurent Vidal disparu en 2015, et dont le bassin olympique du Centre Fonquerne tient son nom. “Vous avez tout au départ du centre Fonquerne, la mer, 30 km de piste cyclable sécurisée entre Sète et Marseillan, l’étang si la mer est trop froide, les pistes de course à pied… Tout ce pourquoi Laurent venait s’entraîner ici” a souligné le sportif sétois invité par l’agglomération pour participer à la visite. De même que plusieurs membres de la direction de l’Arago, ainsi que Ryan Sclater, joueur professionnel du club et canadien.

“Régulièrement, des équipes viennent visiter les installations”

Le Centre Fonquerne a été présenté en détail par Sébastien Abellan, son directeur. Récemment rénové et agrandit, l’équipement intègre désormais, en plus du bassin olympique, des salles de fitness dernière génération. “Régulièrement, des équipes viennent visiter les installations, des Suisses, des Belges. S’ils choisissent Sète, ils pourront venir en stage dès cette année” précise le directeur.

Au-delà de Sète, le territoire met aussi en avant le massif de la Gardiole pour la course à pied ou les thermes de Balaruc, pour l’aspect remise en forme. Beaucoup d’atouts qui pourront faire la différence au moment du choix de l’équipe canadienne venue de Victoria, à plus de 8 000 km de l’île singulière.

 

 

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