Hérault - 2 ans d'emprisonnement pour un trafic de cocaïne à Capestang (34)

Hérault - 2 ans d'emprisonnement pour un trafic de cocaïne à Capestang (34)

Hérault - 2 ans d'emprisonnement pour un trafic de cocaïne à Capestang (34)

Par Source parquet de Béziers, le 11 Novembre 2021

A l’audience de comparution immédiate du 10 novembre 2011, le tribunal correctionnel de Béziers a condamné à 2 ans d’emprisonnement avec mandat de dépôt un homme de 30 ans qui avait été déféré devant le parquet le jour même à l’issue d’une enquête préliminaire ouverte en mars 2021 par la brigade de gendarmerie de CAPESTANG (34) aux fins de démanteler un trafic de cocaïne localisé aux environs de CAPESTANG et de QUARANTE.

 

De nombreuses investigations (surveillances, écoutes téléphoniques, dispositifs de géolocalisation), permettaient aux gendarmes de démontrer que ce trafic de cocaïne avait été mis en place par cet homme, sorti de prison en avril 2020 et déjà condamné à plusieurs reprises pour des trafics de stupéfiants, notamment en 2017 à 4 ans d’emprisonnement par la cour d’appel de MONTPELLIER, déjà pour un trafic de cocaïne implanté dans cette même zone rurale. A l’époque, il avait été interpellé à Paris en possession de 856 grammes de cocaïne.

 

Dans le cadre du nouveau trafic, une dizaine de clients potentiels étaient identifiés par les gendarmes mais seulement 4 reconnaissaient lui avoir acheté de la cocaïne.

 

Il était interpellé le 8 novembre 2021 et la perquisition à son domicile de CAPESTANG ne permettait aucune découverte déterminante. Après avoir fait usage de son droit au silence, il avait fini par reconnaître en garde à vue, puis devant le tribunal, avoir revendu une trentaine de grammes de cocaïne en mars et avril 2021, prétendument pour solder la dette de l’un de ses frères à l’égard de son fournisseur. Il refusait de désigner ce dernier. A l’audience correctionnelle, devant sa mère et sa concubine en pleurs, il affirmait regretter amèrement son comportement et avoir tout stoppé de lui-même dès le mois de mai, afin de préserver son couple et sa vie professionnelle de salarié intérimaire dans le bâtiment.

 

Par ailleurs, le parquet de Béziers a poursuivi sous forme d’ordonnances pénales (amendes, jours amendes ou travail d’intérêt général), 12 usagers de stupéfiants identifiés dans le cadre de l’enquête.

 

 

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