Valras-Plage - Projet Archipel : Daniel Ballester, Maire de Valras-Plage réagit

Valras-Plage - Projet Archipel : Daniel Ballester, Maire de Valras-Plage réagit

Valras-Plage - Projet Archipel : Daniel Ballester, Maire de Valras-Plage réagit

Par ville de Valras, le 03 Août 2021

A la suite de l’article paru dans Midi Libre le 31 juillet sous le titre « Projet Archipel : les recours jugés trop tardifs on t été rejetés » Daniel Ballester, Maire de Valras-Plage communique :

« Je me dois aujourd’hui de m’adresser à vous pour une mise au point concernant le recours formé contre le projet immobilier L’Archipel, recours rejeté par le Tribunal Administratif le 29 juillet dernier.

L’article paru dans Midi Libre n’est ni objectif, ni conforme à la déontologie d’un journaliste soucieux de donner une information complète et équilibrée.

Mais de cela, je laisse juge le rédacteur en chef du quotidien.

Toutefois, en tant que maire mis en accusation dans ce recours, je veux être complètement transparent en relatant simplement la réalité de l’ordonnance rendue que le journaliste occulte totalement se contentant de ne rapporter que les propos de l’avocat des plaignants sans prendre la peine de contacter notre avocat, pire encore sans prendre la peine de lire les termes du jugement.

Ceux-ci sont clairs : le recours est rejeté en effet parce qu’il est trop tardif mais pas seulement.

L’accusation de la partie adverse portait sur le non respect des règles édictées par le Plan de Prévention des Risques contre les Inondations (PPRI). Le tribunal a confirmé que toutes les préconisations ont été scrupuleusement respectées.

Autre angle d’attaque de la partie adverse, nous n’aurions pas appliqué la loi littoral. Là encore, argument rejeté car cette loi ne s’applique pas aux zones déjà urbanisées.

Enfin , le promoteur n’aurait pas respecté ses obligations en termes d’affichage des permis de construire. Argument non retenu, les différents constats d’huissier prouvent que le promoteur a rempli ses obligations.

Tout ceci est clairement inscrit dans l’ordonnance du juge qui confirme donc la bonne conformité des 2 permis de construire délivrés et oppose une fin de non recevoir à la requête en annulation.

Les plaignants ont été condamnés à verser 1500€ à la mairie et 1500€ au promoteur au titre des dommages et intérêts.

J’ai déjà eu l’occasion de le dire et je le redis aujourd’hui, ces permis de construire ont été instruits, comme tous les autres, avec la technicité, l’impartialité et la connaissance parfaite de la réglementation que requièrent ces dossiers, tant par les services de la Ville que par ceux de l’Etat .

Jamais, je n’aurais pu signer une autorisation non conforme aux préconisations et ainsi, exposer un projet aux dangers qui en découlent.

Pour ceux qui auraient pu en douter la preuve est faite aujourd’hui par voie de justice »

 

 

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