Hérault - Womanizer lève le voile sur l'activité sexuelle des seniors

Womanizer lève le voile sur l'activité sexuelle des seniors
Tout d'abord qu'est-ce qu'un senior selon Lovehoney Group?

Une personne à pénis ou à vulve de 65 ans et +. Grâce à son étude annuelle?, Womanizer lève le voile sur la sexualité de nos anciens. Car oui ils ont une sexualité; rythmée de bonheurs ou
de petits soucis. Ne dit-on pas que la plénitude sexuelle est à 75 ans?

« Les jeunes en parlent peut-être beaucoup, mais en font moins que leurs ainés ! La dernière enquête becoming pour APEF sur les Français et l'amour, diffusée en janvier 2023, révèle que
les 60-70 ans sont plus intéressés et pratiquent plus le sexe (34 %), que les moins de 18-24 ans (21 %), je constate aussi un intérêt majeur chez ma patientèle de séniors » déclare Céline Vendé, Sexologue et experte de la marque Womanizer et Lovehoney Group.

1er constat : ils souffrent de petits désagréments affectant leur vie sexuelle

L’avancée en âge amène parfois des changements de comportement, des modifications des réactions que l’on pensait acquises et pérennes du corps... bref ça ne fonctionne plus comme avant.
Les principaux problèmes évoqués par les personnes à vulve françaises dans l’enquête Womanizer sont :

• - par 35,1% la sécheresse vaginale
• - 25% parlent d’une baisse de désir
• - 10,1% de douleur pendant les rapports sexuels
• - 7,4% l’incontinence ou fuites urinaires
• - 4,7% les effets d’un médicament ayant un impact sur leur vies sexuelle

« Chez la femme, contrairement à une idée reçue, la ménopause ne signe ni l’arrêt du désir ni celui des relations sexuelles. Cependant, les bouleversements hormonaux peuvent influer sur la libido qui peut être accrue ou décliner. Mais les hormones ne sont pas les seules responsables de l’absence de désir, la fatigue, le stress, les tensions y sont pour beaucoup. Reste que les sensations de l’excitation et de l’orgasme, si elles peuvent être plus différentes qu’à 20 ans, ne sont pas forcément moins intenses. Quant à la lubrification naturelle, elle est moins abondante, rendant la pénétration plus difficile. La baisse brutale des taux d’hormones sexuelles (œstrogène et progestérone) liée à la ménopause va agir sur la capacité de lubrification vaginale, mais surtout, sur l’affinement des muqueuses, pouvant entrainer une atrophie de la muqueuse du vagin et de la vulve entrainant une baisse de la capacité de lubrification. Mais il est possible de pallier cette difficulté en utilisant des traitements locaux (crèmes à appliquer sur la vulve ou à mettre dans le vagin) et que chaque type de crème jouera un rôle spécifique ; les lubrifiants permettent de faciliter la reprise du rapport sexuel en remplaçant le manque de lubrification physiologique naturelle, ce qui aura pour effet d’entrainer une diminution de la douleur, une augmentation du plaisir et pour finir une réactivation de la lubrification physiologique; les hydratants (acide hyaluronique, vitamine E) auront pour effet de réhydrater et de réparer la muqueuse vulvaire et vaginale ; les traitements hormonaux locaux (œstrogènes en crème ou en ovules) ont pour but de redonner de la trophicité aux muqueuses (sur ordonnance et avis du médecin).

Il faut aussi et surtout porter un regard neuf, et surtout bienveillant, sur son propre corps. Il sera plus facile de se réinventer face aux changements corporels liés à l'avancée en âge. » commente Céline Vendé.

Et ceux des personnes françaises à pénis :

• - 24,2% évoquent des dysfonctionnements érectiles
• - 19% parlent d’éjaculation précoce
• - 13,3% disent ne pas arriver à l’orgasme
• - 10,9% se plaignent d’une baisse de désir
• - 9,5% souffrent des effets d’un médicament ayant un impact sur leur vies sexuelle

• « Les hommes aussi subissent des changements hormonaux à un âge qui peut varier d’un individu à l’autre. Les conséquences de ce changement hormonal, mais aussi d’autres problèmes de santé (problèmes vasculaires, diabète ou troubles du rythme cardiaque) peuvent être à l'origine de difficultés à avoir une érection ou font qu'il faut davantage de temps pour y parvenir. Et après un orgasme, il arrive qu’il se passe quelques jours avant de récupérer et de réussir à avoir une nouvelle érection. Ces déficiences peuvent être traitées en médecine (notamment avec des stimulants sexuels et autres vasodilatateurs), mais également en sexothérapie (prise en charge de l’anxiété de performance, apprentissage et changement des scénarios sexuels inadaptés, prise en charge des facteurs psychologiques personnels et interpersonnels, des conflits de couple, ...)

  Par ailleurs, les relations sexuelles ne sont pas empêchées par l’absence d’érection. Beaucoup d’autres pratiques sont possibles où la satisfaction du ou de la partenaire est prédominante. » déclare Céline Vendé

  La libération de la parole est parfois compliquée sur ces sujets.
  En effet, d’après l’étude Womanizer, les seniors français sont seulement 30% à avoir déjà parlé à un médecin d’un problème affectant leur vie sexuelle et 55% d’entre eux sont trop embarrassés ou gênés pour évoquer le sujet. Il est à noter que 32,5% minorent le problème, tandis que 10% espèrent que cela va disparaître et 6,3% n’ont pas accès à un professionnel de santé à qui en parler.

  De plus, ils déclarent et constatent tous à plus de 70% que cela a un impact sur leur bien-être, sur leur partenaire et leur relation avec celui-ci, leur relation au sexe.

  Plus de 70,1% n’en ont parlé à personne. Ce chiffre est alarmant à un âge où l’on est censé profiter de tout ! Et pour ceux en ayant parlé, les principaux confidents concernant ces problèmes ou préoccupations sont à 64% leur médecin, 56,8% leur partenaire, 47,6% à un sexologue ou sexothérapeute, 47,4% à un ami et 46,8% à leur pharmacien.

  « Je constate malgré tout que les séniors s’autorisent de plus en plus à parler et s’occuper de leur plaisir et de leur sexualité, que ce soit une démarche individuelle (bien souvent après un divorce ou un veuvage) ou une démarche commune du couple au long court (pour se réinventer) ou du couple naissant (réapprendre à faire l’amour avec un autre corps). » ajoute Céline Vendé

  2nd constat : les sextoys ne sont pas des objets inconnus pour eux

  Selon l’étude Womanizer, 34% des seniors français interrogés ont déjà utilisé un sextoy, 10% déclarent en utiliser un régulièrement, 30% seraient tentés d’en utiliser un, ils sont 13% seulement à ne pas vouloir en utiliser.
  Et certains petits coquins souhaiteraient en tester un mais pas avec leur partenaire actuel (8%).

  Seulement 19% pensent que c’est une bonne idée que leur partenaire utilisent un sextoy ! Tandis 11% se sentent remplacés par ce type d’objet... seraient-ils jaloux du Womanizer ou de l’Arcwave de leur partenaire ?

  60% des seniors français interrogés pensent que leur partenaire n’utilise pas de sextoy.

  Ils sont 18% à utiliser un sextoy pendant la masturbation alors que 37% déclarent ne jamais utiliser de sextoy quand ils se masturbent. Les vieilles habitudes manuelles sont donc bien ancrées.

  « Faire l’amour c’est bon pour la santé ! L’activité sexuelle est considérée comme favorable à la santé. Elle permet ainsi la production des hormones dites du « plaisir », à savoir la dopamine et les endorphines. On dit aussi qu’un rapport sexuel représente un effort physique d’intensité modérée, comparable à l’énergie dépensée pour monter deux étages à bonne allure. Voilà du vrai sport plaisir qui participe aussi à éliminer les toxines, à augmenter le rythme cardiaque, à activer la circulation sanguine et à muscler le cœur. Avoir une sexualité épanouie jusqu’à un âge avancé présente des avantages certains pour la santé, notamment en libérant des endorphines, qui agissent comme un analgésique et réduisent l’anxiété, mais aussi des substances qui renforcent le système immunitaire.

  De même, l’arrivée des nouvelles technologies avec notamment des sextoys leur permet aussi, d’une certaine façon, de repenser leur quête du plaisir et peut parfois les amener vers de nouvelles pratiques sexuelles solo ou partagées. En matière de sexualité qu’on parle de seniors ou pas d’ailleurs, on peut en conclure qu’il est autant de façons de la pratiquer (ou pas) que de couples. » conclut Céline Vendé.

  A propos de l’étude

  L'enquête Womanizer a été menée en collaboration avec Lucid en mai 2022 auprès de 22 315 participants de 15 pays (Australie, Autriche, Canada, France, Allemagne, Hong Kong, Italie, Japon, Nouvelle-Zélande, Singapour, Espagne, Suisse, Taïwan, Royaume-Uni, États-Unis).

  A propos de Womanizer

  Womanizer développe des produits de haute qualité dédiés au plaisir, pour la vie amoureuse. Fondée en 2014 avec l'invention de la technologie brevetée Pleasure Air, Womanizer est aujourd'hui une marque de renommée mondiale avec des bureaux à Berlin, Hong Kong, Ottawa et Shanghai. Plus de 6 millions de personnes dans plus de 90 pays à travers le monde ont déjà acheté un produit Womanizer. Avec la campagne internationale #IMasturbate, la marque s'engage à briser les tabous autour de la masturbation et de la sexualité en instaurant un dialogue ouvert, sans gêne ni honte, car chacun mérite une vie sexuelle épanouie. Womanizer (https://www.womanizer.com/fr/), tout comme Arcwave et We-Vibe, est une marque du groupe Lovehoney.

  A propos de Lovehoney Group

  Lovehoney Group est l'un des leaders mondiaux de l'industrie du bien-être sexuel et un fournisseur de produits intimes haut de gamme pour la vie amoureuse de tous. Sa mission est de promouvoir l’épanouissement et l'autonomisation sexuels par l'innovation technologique, la recherche et le développement et un service client hors pair. La société abrite de nombreuses marques de renommée mondiale, telles que Womanizer, We-Vibe, Fifty Shades of Grey, Arcwave et Happy Rabbit. Lovehoney Group a été créé en 2021, lorsque Lovehoney, Amorana et WOW Tech ont fusionné sous la direction du PDG Johannes Plettenberg. Le Groupe emploie plus de 950 personnes réparties dans dix bureaux à travers le monde. Le chiffre d'affaires estimé pour 2021 est supérieur à 400 millions de dollars US.

Womanizer (16-02-23)

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